Volva Vigga rememorait paisiblement
des vielles histoires sur son village.
Vers des merveilles montagnes et de la
mer
ses yeux bleus/verts se debordaient -
la vue impressionante et ancienne.
Elle reflechissait profondement
sur l'existence essentielle surtout
entre les hommes inpaisibles impatients
et les fatalitees feminines de l'autre.
Comment puisse-t-on avoir des etres
qui ne connaisse pas leur propre espece
?
Est-ce-que voila la difference -
devait-elle a l'age qu'elle avait
encore
une fois reeduquer de quoi il
s'agirait?
Elle secoua sa tete de rousse
et cria vivement en ravalant sa colere
et ses frustrations feroces et
femelles.
La Volva reconnait le besoin de la
sexualite
elle n'etait pas encore morte dans son
corps.
D'ailleurs elle aurait la patience
patriote
de montrer aux etres ce qu'il faillait
faire
avec le corps concubin – helas
elle etait adolescente et amoureuse.
Or elle se rapellait qu'elle etait
instruite
d'un amant aimable et infiniment
infatigable
meme s'il pouvait presque etre son
grand-pere.
D'ores et deja c'etait inutile et
infame
la non- connaisance de l'anatomie
archaique
meme les femmes non instruites non plus
etaient les menageres meres – avec un
but
de satisfaire seulement leur mari
mortel.
Ou est-ce-que les epoux exigeants
etaient
tellement des egoistes egrillards et
ejacules
qu'ils ne pensaient jamais qu'a
soi-meme.
La vieille Volva qui porte le nom
Vigga,
ne se vauqait pas volontairement
au vieux vaurien vaniteux – meme
s'il la semblait sincere et solide.
Elle avait un ami franc et faineant
qui lui avait choquee, car il l'avait
dit
qu'il faillait penser a son chair a
soi.
Vigga, elle avait qu'une vie et le
droit
de l'homme s'etait aussi eteindu a la
Volva.
Un jour insolite – mais ensoleille
qu'elle aurait aime faire toutes les
faites
qu'on pourrait rever – de jouissance
d'avoir l'amitie d'un faune fauve
et d'un elegantier d'Edesse ancien,
helas, un moment maniache etait le seul
qu'on puisse attendre de l'age qu'elle
avait.
Sans illusions d'instinct elle
mauditait
l'homme etait le seul etre qui se
compliquait
tout les jours – a chaque instant
imposant son idee de superiorite
sur les autres – et surtout sur les
femelles
c'etait lui qui decidait de faire
l'amour
par son anodin acte et ne pensait rien
a l'amour d'un arlequin – ce n'etait
pas la meme chose avec un monsieur
qui ne faisait pas que se vider.
La vulve d'une Venus devrait se venger
sur le penis penetrant en refusant
de laisser le faire – sans cherchant
-
de la plaire, d'adorer la passiflore
elle se laisse penetrer passivement
comme la viol – sans de bonne
volonte.
Mais elle aimerait bien l'acte
sensuelle
si le partenaire passionne etait un
savant
oui un savant amant qui adorait plaire
a
l'animal ancient d'une Vigga vibratoire
en voulait encore – ahhh...
Elle decidait de ne pas faire la betise
bete
et de ne pas servir comme une
educatrice
d'enfant – elle voulait rombre avec
l'idiotie
incomprehensible – et - immoderement
demander que la prochaine galantierie
garantira sans probleme le savoir faire
d'un amant enseigne et bien eleve
dans l'art tantrique et un technique
tendrement effectue avec humour
et en taquinant la chair de la
maitresse.
La Volva Vigga marchait sur le chemin
un matin dans son endroit et entendait
l'echo des ses pensees murs et
immodestes.
Ensoleille le pre etait merveilleux
et elle decouvra tout un coup
les fleurs ressemblant des passiflores.
Elle savait que les etres dans son
monde
des fees, des deux grandmeres
lointaines
les ames feminines blessaient son choix
charnel et tendre – sans trancher.
Par necessesite nebuleuse elle
commencait
a flaner un peu plus provoquante
sans se montrer comme une pute
sur un trottoir – la tentation etatit
la -
mais elle etait maintenant sure de sa
valeur
feminine et sa veneration de soi-meme
etait plus fort que l'amour charnel
elle pouvait se vendre –
heureusement
la Volva avec une vulva d'un
volontariat
se valorisait plus et si il y avait
quelqu'un
un jour qu'elle renconterait par hasard
avec des attributions aimables et
capables
alors, en ce moment la Vigga se disait
elle en voulait bien et souvent
sans des complications complexes
avec une sourire et un reverence royal
a ses anchetres anciennes et
evangeliques.
Le village acceptait quand meme tous
elle avait vu a la cimitiere le tombeau
avec la maitresse et son amant
et l'amie a prit le corps du concubin
et elle et lui restaient ensemble.
Les jeunes fleurs sur le chemin matinal
brilliaient en couleurs chaudes
et en quittant le sentier sur lequel
Vigga la Volva souriait tendrement -
ses cheveux blonds venetiens
flottaient finement dans l'air de
l'aube.
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